Prénom : ________________________________                                                       Date : ___ / ___ / 200_


La petite fille aux allumettes 1

(ANDERSEN)

¨     allumettes

¨     battrait

¨     brûlé

¨     cuivre

¨     disparut

¨     écrasée

¨     fille

¨     flocons

¨     frissonne

¨     gamin

¨     glacial

¨     grandes

¨     l'autre

¨     merveilleuse

¨     monde

¨     odeur

¨     paquet

¨     pas

¨     petite

¨     petites

¨     petits

¨   rue

Il faisait effroyablement froid ; il neigeait depuis le matin; il faisait déjà sombre ; le soir approchait, le soir du dernier jour de l'année. Au milieu des rafales, par ce froid ....................... , une pauvre ....................... ....................... marchait dans la ....................... : elle n'avait rien sur la tête, elle était pieds nus. Lorsqu'elle était sortie de chez elle le matin, elle avait chaussé de vieilles pantoufles beaucoup trop ....................... pour elle. Aussi les perdit-elle lorsqu'elle dut se sauver devant une file de voitures ; les voitures passées, elle chercha après ses chaussures mais un méchant ....................... s'enfuyait emportant en riant l'une des pantoufles ; l'autre avait été entièrement .............................. .
Voilà la malheureuse enfant n'ayant plus rien pour abriter ses pauvres ....................... pieds. Dans son vieux tablier, elle portait des allumettes : elle en tenait à la main un paquet. Mais, ce jour, la veille du nouvel an, tout le ....................... était affairé ; par cet affreux temps, personne ne s'arrêtait pour considérer l'air suppliant de la petite qui faisait pitié. La journée finissait, et elle n'avait ....................... encore vendu un seul ......................... d'allumettes. Tremblante de froid et de faim, elle se traînait de rue en rue.
Des ......................... de neige couvraient sa longue chevelure blonde. De toutes les fenêtres brillaient des lumières et de presque toutes les maisons sortait une délicieuse ....................... , celle de l'oie, qu'on rôtissait pour le festin du soir : c'était la Saint-Sylvestre. Cela, oui, cela lui faisait arrêter ses pas errants.
Enfin, après avoir une dernière fois offert en vain son paquet d'.................................. , l'enfant aperçoit une encoignure entre deux maisons, dont l'une dépassait un peu .......................... . Harassée, elle s'y assied et s'y blottit, tirant à elle ses petits pieds : mais elle grelotte et ............................ encore plus qu'avant et cependant elle n'ose rentrer chez elle. Elle n'y rapporterait pas la plus petite monnaie, et son père la .......................... .
L'enfant avait ses ......................... mains toutes transies. « Si je prenais une allumette, se dit-elle, une seule pour réchauffer mes doigts ? » C'est ce qu'elle fit. Quelle flamme .................................. c'était ! Il sembla tout à coup à la petite fille qu'elle se trouvait devant un grand poêle en fonte, décoré d'ornements en ......................... . La petite allait étendre ses pieds pour les réchauffer, lorsque la petite flamme s'éteignit brusquement : le poêle ............................ , et l'enfant restait là, tenant en main un petit morceau de bois à moitié ......................... . (...)

La petite fille aux allumettes 2

(ANDERSEN)

¨     alluma

¨     allumette

¨     elle

¨     était

¨     faim

¨     flamme

¨     fourchette

¨     froid

¨     grand-mère

¨     larmes

¨     longtemps

¨     matin

¨     moi

¨     nuit

¨     paquet

¨     paradis

¨     pommes

¨     réchaufferait

¨     redescend

¨     rouges

¨     troisième

¨ vertes

(...) Elle frotta une seconde ...................................... : la lueur se projetait sur la muraille qui devint transparente. Derrière, la table était mise : elle était couverte d'une belle nappe blanche, sur laquelle brillait une superbe vaisselle de porcelaine. Au milieu, s'étalait une magnifique oie rôtie, entourée de compote de ........................... : et voilà que la bête se met en mouvement et, avec un couteau et une ................................. fixés dans sa poitrine, vient se présenter devant la pauvre petite. Et puis plus rien : la ............................ s'éteint.
L'enfant prend une ............................ allumette, et elle se voit transportée près d'un arbre de Noël, splendide. Sur ses branches ............................ , brillaient mille bougies de couleurs : de tous côtés, pendait une foule de merveilles. La petite étendit la main pour saisir la moins belle : l'allumette s'éteint. L'arbre semble monter vers le ciel et ses bougies deviennent des étoiles : il y en a une qui se détache et qui ................................. vers la terre, laissant une traînée de feu.
« Voilà quelqu'un qui va mourir » se dit la petite. Sa vieille grand-mère, le seul être qui l'avait aimée et chérie, et qui ....................... morte il n'y avait pas longtemps, lui avait dit que lorsqu'on voit une étoile qui file, d'un autre côté une âme monte vers le .............................. . Elle frotta encore une allumette : une grande clarté se répandit et, devant l'enfant, se tenait la vieille ............................... .
- Grand-mère, s'écria la petite, grand-mère, emmène-moi. Oh ! tu vas me quitter quand l'allumette sera éteinte : tu t'évanouiras comme le poêle si chaud, le superbe rôti d'oie, le splendide arbre de Noël. Reste, je te prie, ou emporte-....................... .
Et l'enfant ....................... une nouvelle allumette, et puis une autre, et enfin tout le paquet, pour voir la bonne grand-mère le plus ................................ possible. La grand-mère prit la petite dans ses bras et elle la porta bien haut, en un lieu où il n'y avait plus ni de froid, ni de ......................... , ni de chagrin : c'était devant le trône de Dieu.
Le lendemain ......................... , cependant, les passants trouvèrent dans l'encoignure le corps de la petite ; ses joues étaient ......................... , elle semblait sourire ; elle était morte de ...................... , pendant la nuit qui avait apporté à tant d'autres des joies et des plaisirs. Elle tenait dans sa petite main, toute raidie, les restes brûlés d'un .......................... d'allumettes.
- Quelle sottise ! dit un sans-cœur. Comment a-t-elle pu croire que cela la ..................................... ? D'autres versèrent des ......................... sur l'enfant ; c'est qu'ils ne savaient pas toutes les belles choses qu'elle avait vues pendant la ......................... du nouvel an, c'est qu'ils ignoraient que, si ......................... avait bien souffert, elle goûtait maintenant dans les bras de sa grand-mère la plus douce félicité.

 

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